Les moyens financiers, les objectifs, la stratégie

Ferments du Futur dispose d’un financement public de 48,3 millions d’euros dans le cadre de France 2030, mobilisant aussi des partenaires privés.

Ses objectifs sont d’accélérer la recherche et l’innovation sur les ferments, les aliments fermentés et la biopréservation pour une alimentation plus saine, durable et traçable. Sa stratégie repose sur la collaboration entre entreprises et recherche publique afin de répondre aux enjeux de transition agroécologique et de souveraineté alimentaire

Objectif de Ferments du Futur :
explorer les multiples bénéfices des ferments

SENSORIEL

Optimisation organoleptique de produits fermentés traditionnels et de nouveaux aliments (alternatives végétales aux matrices animales, nouvelles sources de protéines)

NUTRITION

Optimisation 
 des profils nutritionnels des aliments (réduction sucre/sel, production de vitamines)

Augmentation de la biodisponibilité des nutriments

Développement 
 d’aliments destinés à des populations aux besoins spécifiques

DURABILITÉ

Optimisation des procédés – Adaptation aux variations de matières premières, diminution de l’impact environnemental (énergie, eau)

Réduction du gaspillage alimentaire – Valorisation des coproduits

Développement d’approches fermentaires pour la biofertilisation & bioprotection des cultures

NATURALITÉ

Développement d’approches fermentaires en remplacement d’additifs pour la conservation des aliments « clean label »

SANTÉ

Evaluation de la sécurité des nouveaux ferments et aliments fermentés

Optimisation / rétablissement
 
des microbiotes de l’hôte

Développement de nouveaux
 pré/pro/post-biotiques et métabolites associés

4 axes stratégiques pour la recherche et l'innovation

En s’appuyant sur les connaissances actuelles en écologie microbienne, génie des procédés et sur la nutrition-santé, Ferments du Futur développe des ferments et des produits fermentés innovants, répondant à des fonctionnalités précises, à travers :

La conception de communautés microbiennes stables, issus de la biodiversité naturelle et adaptés aux matrices / procédés cibles.

Des conduites de fermentation optimisées jusqu’à l’échelle pilote.

L’optimisation des interactions entre aliments fermentés, microbiotes et santé.

Une utilisation transversale des sciences des données et de l’intelligence artificielle.